• L'une des compositions phares d'un grand compositeur de musique de films: Ennio Moricone.

      Ennio Morricone - Il était une fois dans l'Ouest

    Le Thérémine joué par Katica Illenyi.

    Le Thérémine est un des plus anciens instruments de musique électronique, inventé en 1919 par le Russe Lev Sergueïevitch Termen(connu sous le nom de « Léon Theremine »). Composé d’un boîtier électronique équipé de deux antennes, l'instrument a la particularité de produire de la musique sans être touché par l’instrumentiste.

    Merci à mon ancien collègue Michel de m'avoir fait découvrir cet enregistrement.


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  • Comme d'habitude les autorités du site de Pompéi trouvent comme excuse de leur incapacité à protéger efficacement le site de Pompéi en accusant les éléments alors que ce pays est entièrement infiltré par une bande de bandits de la tête du gouvernement à son moindre habitant!

    La photo ci-dessous montre les dégradations occasionnées par des pluies sur le site faisant monter l'eau en provenance de citernes sous la maison de Giulio Polibio qui est en cours de restauration semble-t-il avec le concours de Yamaha. Le sol s'est gonflé abîmant la mosaïque située au dessus! Cela dit restaure-t-on vraiment? On peut se le demander quand passant en pleine semaine en Juin 2015 devant la dite maison personne ne semblait y travailler.....On fait de grandes phrases, de grandes affiches plus creuses les une que les autres mais d'actes rien sinon du vent et des dégradation qui se poursuivent allègrement.

    Pire au lieu de consacrer des fonds à la restauration on a affublé la maison d'hologrames de ses propriétaires et habitants! Vraiment utiles par les temps qui courent!

    Et une de plus!

     

    (Source: http://www.pompeiiinpictures.com/pompeiiinpictures/R9/9%2013%2003%20p6.htm )

    L'art de donner des orchidées aux cochons!

    Et une de plus!

     

    (Source: http://www.campaniasuweb.it/attualita/pompei-restauratori-a-lavoro-nella-casa-di-polibio-danneggiata-dalla-pioggia/ )


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  • Concert hier soir au théâtre des Champs Elysées avec l'orchestre de chambre de Paris dirigé par Lawrence Foster et en solistes la pianiste Momo Kodama et la violoniste super soliste de l'orchestre Deborah Nemtanu.

    Deux symphonies de Schubert débutent et termine le programme, les 1ere et seconde symphonies. Malgré ma réserve habituelle sur le manque certain de cordes, les deux oeuvres et surtout la seconde symphonie furent interprétée de façon magistrale. J'ai, je dois dire, une préférence pour la seconde, on y trouve toute la fougue et la jeunesse d'un jeune prodige de 17 ans âge auquel le compositeur mis sur le papier ce petit chef d'oeuvre.

    Faisant suite à la première symphonie, c'est anxieux que j'attendais le concerto en fa mineur de Chopin. Je me méfie des artistes japonais, littéralement pondus à la chaine et souvent pour ne pas dire toujours croyant que virtuosité et vitesse rhyment avec talent. Le cas Lang Lang en est presque caricatural sans parler des grimaces et autres gesticulations et regards aux yeux révulsés histoire de se donner l'illusion qu'on est inspiré.

    Oh surprise! Oh bonheur! Mme ou Mlle Kodama joue avec sobriété. Je ne la voyais pas de face et peut-être me suis-je laissé prendre mais une chose est certaine, pas de mains quittant le clavier pour monter jusqu'aux cintres pour aborder un pianissimo sur les touches. Tout son jeu est en finesse, sans emphase. Chopin est trop souvent massacré par des excès de rubato pour ne pas souligner ici la délicatesse et la mesure de l'artiste qui ne tombe pas dans ce piège grand ouvert.

    Lors du second mouvement, elle réussit à m'émouvoir au maximum et je ne puis faire meilleur compliment à Momo Kodama. Quel dommage que ce manque de violons fit perdre tout son effet au troisième mouvement au passage central où les violons frappant de l'archet sur leur caisse, donnent cette impression de froissement sonore. On ne l'entendait pas alors que nous étions placés avec mon amie Marianne, au 1er rang de corbeille pratiquement à la verticale des pupitres.

    Une très belle interprétation doublée d'un bis, sans doute une des mazurkas de Chopin, je ne le garantis pas car cela fait longtemps que je ne les ai pas écoutées.

    Après l'entracte, le concert commence par les quatre pièces romantiques pour piano et volon de Dvorak. Mme Nemtanu est certainement une très bonne violoniste, mais ce ne sera jamais une Grande violoniste. Son son n'est pas pur et l'on n'arrive pas à oublier la présence de l'archet sur les cordes. Dommage car sinon l'interprétation en soi ne laissait rien à désirer.

    Le concert se terminait donc avec la seconde symphonie de Schubert, un sans faute à tous les niveaux.


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  • Que dire sinon admirer cette merveille aujourd'hui au musée de Naples et trouvée dans le sacrarium de la maison de Giulia Felix à Pompéi...

    Peregrinations Pompéiennes


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  • Jakob Ludwig Felix Mendelssohn Bartholdy, plus couramment appelé Felix Mendelssohn, est un chef d'orchestre, pianiste et compositeur allemand du début de la période romantique, né à Hambourg le 3 février 1809 et mort à 38 ans à Leipzig le 4 novembre 1847. Il est le petit-fils du philosophe Moses Mendelssohn.

    Ces symphonies se répartissent en deux groupes , 12 symphonies pour cordes et 5 symphonies pour un orchestre au grand complet. Par les 5 deux des plus célèbres sont évidemment les 3e et 4e dite respectivement Ecossaise et Italienne.

    Voici un enregistrement remarquable fait dans la salle de concert du Alte Oper de Frankfort par l'excellent orchestre de cette ville sous la direction de Paavo Järvi, de la 4e. que le compositeur écrivit en 1833.

    Dans sa tournée à travers le continent européen, Mendelssohn, après l'Allemagne, la France et l’Angleterre, fait escale en Italie au printemps 1830. Il a alors en chantier la Symphonie Écossaise, inachevée, ainsi que plusieurs autres travaux. Cependant, il tient à entamer un nouvel ouvrage, une symphonie qui, comme celle dédiée aux highlands écossais, s’inspirera des paysages et des émotions romantiques du compositeur à travers l’Italie. Sa symphonie, achevée en 1833, fut une grande réussite et fut longtemps considérée comme la meilleure du musicien, avant que l’Écossaise ne soit glorifiée elle aussi.

    L'œuvre, terminée à Berlin, a été créée à Londres le 13 mai 1833 par la Royal Philharmonic Society. (source : wikipedia)

     

     

    Donné en même temps comme ouverture du même concert une oeuvre peu joué de Wagner Rienzi dont voici l'ouverture. Cet opéra est le dernier des 4 opéras de jeunesse du compositeur après respectivement Le mariage, les Fées et la Défense d'aimer. Le mariage ne fut jamais représenté et resta inachevé. L'opéra Rienzi raconte les conflits entre familles patriciennes, en particulier les Orsini et les Colonna, factions rivales représentées par leurs chefs respectifs Paolo Orsini et Steffano Colonna dans la Rome médiévale. Intrigue complexe, opéra de près de 4h rarement monté sur scène ce qui est fort dommage car la partition est superbe. Evidemment elle est toute emprunte du classicisme et des conventions de l'époque (1842), Wagner avait 29 lorsqu'il le compose alors les puristes wagnériens le dédaignent bien à tort et c'est surtout l'ouverture que l'on donne en concert.


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