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Délires en tous genres
Il y a quelques années sur un autre site, un de mes contacts avait eu l'idée de proposer le jeu suivant. Ecrire un article ou une histoire en se servant comme vocabulaire unique de tous les mots les plus repoussants de la langue française dont il donna la liste ci-dessous et dont voici un extrait:
abracadabrantesque, agenda, andouille, animalcule, aristocrate, asticot, attaché-case, attrape-nigaud, « au jour d’aujourd'hui »,« au niveau de ». [subtitle — B —] [subtitle babyfoot, badaud, barquette, beauf, bedaine, « bichette (ma —) », biffeton, bigoudi, biquette, biroute, bitoniau, bling-bling, blouson, bolduc, « bon appétit ! », boudin, boudiné, bougon, boui-boui, bouille, Boul’ Mich’, boules kiès, Bounty, boutons de manchettes, bougnoule, bouture, braguette, brandade, brushing, burlingue [subtitle — C —] cablé, caca-d’oie, « ça craint », cagibi, cagoule, calbute, calembredaine, calendos, camarade, caniche, carambar, « ça roule ? », carpette, casse-couilles, casse-croûte, causette (faire la —),céphalée, « c’est clair ! », chandail, chaufferette, cheese-burger, chéri, cheval melba, chiasse, chienlit, chipolata, chipoter, chlinguer, choucroutte garnie, chtouille, cœur (mon —),concupiscence, couille, courge, cravatte, concerti, cossu, cosy, « c'est cool », couillu, crotte de bique, crotte de nez, « cuisine orientale », cul d’oignon, culotte, curé, cure-pipe, cureton. [subtitle — D —] damoiseau, daube, débriefing, dégueuler, « de luxe », dentier, dindonneau, droite cassoulet, drosophile. [subtitle — E —] édredon, enculage, enfant de chœur, enseignant, entregent, enzyme glouton, époux (épouse). [subtitle — F —] fanfreluche, fiente, fifrelin, fiotte, fistule, flamenkuech, flipper, « flûte ! » (interjection), folasse, fourragère, formica, forniquer, foufoune, foultitude, frigidaire, friture, froufrou. [subtitle — G — ] gauche caviar, garriguette, gigolo, glaire, gland, glandouille, glotte, gluant, gobe-mouche, godemiché, godiche, gonzesse, gourde, greluchon, grognon, gros blaire, « gros poutous », guéridon, guinguette. [subtitle — H —] hétéro, homme de couleur. [subtitle — J —] « Jésus-Marie-Joseph ! », jupe-culotte, jupette, « j’veux dire, quoi ». [subtitle — K — ] kiki, kitchenette, « koi 2 9 ? ». [subtitle — L —] lapin (mon —), larfeuille, levrette, lichette, libidineux, liposuscion, living-room, loche, lol, lopette, loufer, louloute, lupus. [subtitle — M —] malotru, mange-disques, « marcel » (débardeur), mdr, merder (« j'ai un peu merdé, là »), miche, « mince ! » (interjection), mocassin, moquette, morve, moules-frites, mistouflette, moite, mouche, mouche à merde, moufle, mouille, moule, mouliche, mouligasse, moulinette, moulu, moulure, mucus. [subtitle — N —] napperon, naphtaline, nénette, nez en trompette, nibards, niche, nichon, nouille, « noir », nyctalope. [subtitle — O —] oreillette [subtitle — P —] paltoquet, papier-cul, parking, pâté,..
Partant de cette idée je créais le personnage déjantée de Cunegonde sorte de folle nymphomane et déclinais une ode en quatre actes ou parties comme vous voudrez, que voici. Cette oeuvre majeure de mon répertoire fut écrite en 2008 et bien entendu est protégée par un copyright sur toute la planète!
Je dois avouer que ce jour là je tenais la grande forme car le premier acte fut composé en moins d'une demi heure! Comme dirait le regretté De Funés, "Il m'épate, il m'épate, il m'épate"!!!LOL! Bien entendu certains noms propres font réference aux membres du groupe qui sévissait sur le site internet, gay je vous l'accorde et certains par ce biais faisaient l'objet de notre malediction.
LES AVENTURES DE CUNEGONDE
ACTE I
ODE A CUNéGONDE LA BELLE ODALISQUE!
Venez bel asticot, et de votre bedaine, montrez-moi la surface !
On veut par vos désirs que je fasse la pétasse.
J’ignore, beau damoiseau gluant, si je suis une follasse
Mais de tous vos souhaits je vais vous satisfaire.
Ainsi donc, de cet aristocrate, beauf à l’agenda cablé,
Vous êtes l’émissaire. Abracadabrantesque fifrelin,
Au jour d’aujourd’hui votre concupiscence
De ma foufoune éveillant tous les sens,
Jésus Marie Joseph ! crée la révolution !
Forniquer avec vous ce serait le pompon !
Andouille, animalcule de votre attaché-case
Plein de calembredaines qu’il faut bien que j’encaisse
Vous prétendez ainsi, espèce de phallocrate
D’un Sarkozy dépourvu de cravatte,
En blouson boudiné, et boutons de manchette
Comme un attrape-nigaud, me faire la soubrette.
De mes roberts, nichons majestueux, en faire votre casse-croute
Pour exaucer vos vœux ! Suis-je donc votre louloute ?
Malotru, espèce de Vieux croumyre, tout plein de turpitudes,
Vieux schnock à la prostate desséchée de telles vicissitudes,
Pensez-vous un instant m’appeler « ma bichette »,
Et tel un vide-grenier, combler votre zezette !
Pour toucher le cul à la baronne,
Il faut mon cher monsieur que les raisons soient bonnes.
Je ne suis ni carpette, ni potiche,
Je ne passe pas mon temps flânant sur le Boul’Mich
Avec mes camarades, je veux faire la causette,
C’est clair, c’est cool, mais saperlipopette,
Devant tous les badauds, gigolo de mes fesses,
Libidineux grognon, c'est vrai, je le professe,
Sur le champ décampez et me laissez en paix.
Au niveau du vécu, cher lecteur impatient,
Cette aventure enfin, pourrait vous satisfaire ?
Or c’était, sapristi, qu’un début à toute cette affaire.
Equipée d’un chandail, sur mon soutien-gorge à balconnetMes nibards bondissants malgré le vent frisquet,
J’avisais prés de là, une jolie guinguette
Et munie de biffetons et d’une mignonne jupette,
J’entrais, royale Segolène dans ce charmant boui-boui
Et m’écriais sublime, Messieurs, Bon appétit,
Oh ministres intègres, conseillers vertueux
Qui hantez la maison, que des chiens dévorants se disputent entre eux !
Cette gauche caviar, voyant une gonzesse, sur le seuil de la porte,
Bigoudis sur la tête, cette jeune fille accorte,
D’une jupe-culotte, couleur de pêche melba,
Telle une pouliche « prout-ma-chère », s’installa
A une table tout prés du babyfoot.
Un bougnoule, cossu, en cagoule caca-d’oie
Mena le débriefing, qui la laissa sans voix !
Raclette de raviolis, ratatouille au roquefort,
Choucroute garnie, saupoudrée de raifort,
Cheeseburger « Mon lapin »,
Moules-frites au buis de romarin,
Boudin aux calendos, débutaient cet aimable repas !
Et suivait pour renfort de potage, un reblochon bien fait qu’on sentait à cents pas !
Une tarte tatin à la sauce gribiche servait de trou normand
A ce festin de roi. Oh !mon dieu cria-t-elle,
De mes seins débordants, ce peut-il un instant, que ce romanichel
Ronchon, salace, souillon, au dentier déglingué
Puisse de sa Kitchenette, de ses mets succulents, m’abreuver !
Mon chéri, mon dindonneau d’amour,
Sois en cette instance l’hétéro de mes jours
Je veux en cet instant devenir ta levrette !
Enlève le napperon, fais moi la trottinette !
Tu es l’homme de couleur,
Qu’en mes rêves les plus fous, je n’osais espérer.
Là-dessus, bille en tête, Karim et Cunégonde tels Isolde et Tristan
De cette République Vers l’éternel amour, dans le ravissement
Sur un cheval melba
Disparurent au loin, de ce monde, ici basACTE II
LE RETOUR DE CUNéGONDE OU LA TRAHISON DE KARIM!
Ô rage ! Ô désespoir !
Faut-il de ma jeunesse que je sois la victime ?
C’était pendant l’horreur d’une profonde nuit
Mon mec Karimounet, aux pectoraux d’acier,
M’appelait ma Biquette, reine de la cuisine orientale !
Nos malheurs n’avaient point abattu sa fierté légendaire.
Même, il avait encore ce Marcel emprunté
Dont il avait eu soin de le ranger dedans la Naphtaline,
Pour préserver des mites, l’irréparable outrage !
Tremble, me dit-il, femme, digne de moi !
Ces animalcules, t’en portent aussi sur toi !
Je te plains de tomber dans leurs tentacules redoutables !
En achevant ces mots épouvantables
Son ombre vers ma couche a paru se baisser ;
Et moi je lui tendais les mains pour l’trifouiller !
Mais je n’ai plus trouvé qu’un horrible pédoncule,
D’os et de chairs meurtris aux enzymes gloutons
Que trainaient dans la fange des caniches moutons.
Ainsi se lamentait, la belle Cunégonde !
Karim, l’avait lourdée pour suivre cette roulure,
J’ai nommé, Abdel le tapissier, qui portait la tonsure !
Avant de la quitter, Karim lui tient à peu prés ce langage :
Je me souviens toujours que je te dois mon relooking !
Que cette redingote qui cache mes celestes appas,
Ce slibard rose bonbon et ces socquettes vertes
A mon sonotone mauve donnent tout leur éclat.
Mais enfin , il faut bien que la droite cassoulet
Garde de l’entregent.
En époux infidèle, je serais ton amant !
Enfant de chœur, je ne suis plus !
Sous l’édredon, j’ai tant vécu !
J’en ai assez de porter la culotte !
De satisfaire une poule de luxe !
Dans ma braguette, chercher le bitoniau !
Tout ça pour toi , ma petite nénette.
Abdel est là, qui me tend…tu m'comprends
Son sauciflard piperadé,
Et son nez en trompette !
A ces mots, il partit et la laissa en plan.
Ragaillardie par ses funestes paroles,
Cunégonde se dressa sur sa couche
Et regardant au loin sa table en Formica
Elle se précipita dedans le frigidaire.
Elle sorti la friture, savoureuse et légère,
Les glands de chèvrefeuille à la sauce piquante,
La flamenkuech à la brandade de morue,
Tout cela exhalait un parfum d’érotisme.
Ayant placés ces mets sur le beau guéridon,
Elle se fit un brushing en forme de biroute !
Avecque des bolducs et des boutures de boule quiès
Elle alla s’enfermer au sein du cagibi.
Ca craint ! S’écria-t-elle !
Je ne puis plus rester au sein de ce parking !
La dessus, telle Brünhilde enfourchant son cheval,
Elle s’élançât fièrement, dans l’espace sidéral.
Depuis elle tourne en rond, satellite lunaire
D’une Terre ingrate qui lui prit son poulbot.ACTE III
EPILOGUE: Où CUNEGONDE RETROUVE CYRANO ET SE PAIE LA DE FOULQUES!
C'était, dans la nuit brune,
Sur le clocher jauni,
La lune,
Comme un point sur un i.
Lune, quel esprit sombre
Promène au bout d'un fil,
Dans l'ombre,
Ta face et ton profil?
Ma face ? Qui te rends si hardi
D'titiller ma soutane ?
Es-tu un V.I.P. pour venir en orbite
Sur ma salle de séjour sidérale?
Par des mots sous-jacents,
Tu viens troubler le calme.
Mais puisque tu es là,
As-tu quelques missives à m'mander ?
Parle, prends un siège et assis toi par l’air !
Le bellâtre troglodyte aux allures de trouvère
Pas trouillard pour un sou,
Sirotant son Viandox, entamât ce discours !
Madameu Cunégonde, la rapace de de Foulques
Vous savez, la dame du charcutier ?
V’là t’y pas qu’en sous mains elle fait croire
Que vous vous ressemblez !
Q’vous avez la même bouille !
Vrai qu’j’y dit ? Vrai qu’m’dit !
La pimbêche au pince-fesses
De c’te plouc de Popaul,
Tu sais le fabricant de Popeline et d’frous frous,
Avait eu y a 30 ans deux jumelles à son cou !
Mince qué s'dit, faut qu’je protège mes miches !
C’est-y qu’j’vas salir ma moquette, ‘vec ces deus greluchons !!!
J’suis ni gourde ni godiche, j’suis féroce de la glotte !
A nous deux mon garçon !
Là-dessus qu’elle m’a dit , elle tabassa l’Popaul, !
Lui lourda ses souliers, le traita de tafiole,
Et d’une tartignole, lui brisa le tarin !
Pov’ Paupol, la saucisse en serre-tête,
L’tricot de peau en morceaux, muni d’une sucette,
Aux urgences y s'fit faire une prothèse à ventouse.
De son coté, la pouffe, déposa l’un de ses troufignons
Chez la tata en soutane du boulevard Potiron.
Vous connaissez la suite, Devenu grande et belle,
Des boulevards, aux Folies, aux Bouffes
Du beau Jean-Claude, vous fîtes des ravages,
Jusqu’au jour pas si loin
Qu'de Karim vous tombâtes en ses mains .
La de Foulques voyant ça, c’est typique,
Piqua une crise de nerfs !
Tomba sur son mari qui s’envoyait en l’air,
Avec qui j’vous l’demande ! Cherchez pas ,
‘vec Passant76 son cerbère commercial !
Oui Madame, c’ui là-même qui voulait,
Burlinguer avec vous ! Jouer du carambar,
A travers vote fistule !
Va dit-elle, la de Foulques,
Va trouver ma frangine,
Qu’elle cesse de chipoter,
Pour sa fiotte de Karim,
Qu’il aille Karim prenant, l’a d’l’humour vot’ frangine,
J’lui offre la moitié de mon beau livinge room,
Qu’elle pose ses fanfreluches et toute sa foultitude
D’fourragères à deux balles,
Et d’ma part tu lui fais un poutous gros comme ça !
V’là Madame c’que j'avais à vous dire,
Suivez-moi s’il vous plait
Car faut vite que l’on s’tire.
L’sidéral c’est gentil mais ca lichette pas son homme,
Avec la Jeanne de Foulques, vous s’rez à la bonne !
Son couillu de mari, pour avoir paix royale,
Lui fourgue des biffetons comme un mange-disques,
Qui marcherait à l’envers. Futée comme vous êtes,
N’Y aura pas longtemps qu’vous soyez milliardaire,
Et si l’occase te tente, ma mignonne mistouflette,
J'veux bien être ton pignouf à Bahamas les bains !
Ni une , ni deux, Cunégonde et son beau Cyrano,
Ben si !oui !c d’lui qui s’agit, gros nigauds !
Sur un morceau de Lune, et d’la poussière d’étoiles
Ils rejoignirent la terre.
Koi 2 9 aujourd’hui ? Cunégonde et Cyra,
Vivent des jours heureux sur les rivages blancs
Des tropiques sablonneux.
La de Foulques est toujours accrochée à son mec
Et Passant76 a filé à l’Anglaise. Il boit de la Verveine
En zappant sur le net !
Et veut de la syntaxe
Réformer la planète !
Mortalité, La de Foulques ne fait pas l’bonheur !ACTE IV
Où IL EST DIT QUE CUNEGONDE N’EN FINIT PAS DE CALETASSER !
Or donc, bonnes gents, gentils damoiseaux et gentes dames,
En cette an 2008 Cunégonde sur les rivages calmes,
De l’océan Atlantique, découvrit toute surprise
Que née pauvrette, elle était une Marquise !
Non pas de Bergerac à la mode Cyrano,
Mais Marquise Batavia à la Maude II Khan !
Oui, belle marquise les dont beaux yeux font me d'mourir amour,
Vous fûtes sans le savoir, adoptée à l'aube de vos jours,
Par le Prince Blue Dragoon II Kâma-Sûtra Khan Eton !
Princes déchus incapables de casser une patte à un caneton!,
Auguste lignée de Radjahs, dont les origines sont telles
Qu’on ne peut retrouver toutes traces des hôtels,
Lors d’un voyage en notre beau pays, la vue
De cette frêle jeune fille, le rendit tout ému.
Cyrano fou-furieux de voir un prétendant d’une tige si auguste
A son rival, jeta son string, lui soutint que son nez était creux !
Ah non Monsieur, lui répondit Kâma ! Comment de mon pédonticule
Pouvez-vous vous gausser ! En insultant mon nez, c’est mon Karma
Dont vous vous épouffiassez !
Permettez qu’à l’instant je vous prenne à revers !
A revers dit Cyra, à un Khan Eton, moi! Dénuder mon derrière !
Fi donc ! Fi vous dis-je sur votre instrument je ne puis m’incruster !
Et filant en hurlant sur la plage cendrée,
Cyra , string oublié, en une course éperdue, disparu !
La belle Marquise dont les yeux d’amour beaux mourir font,
Se retourna devant son père et de sa croupe charnue
Offrit le digestif ! Celui-ci tenant le string au vent de la Donna e mobilé,
D’un rire sardonique aux canines effilées, s’élança vers la belle étonnée.
Que faites-vous mon cher, lui dit-elle ? Je vous présente mes commodités,
Et d’un bond vous cherchez à me ravir mon lieu de volupté ?
Sont-ce là cher Papa, les manières que vous apprit la princesse Kouche San Drat !?
Faut-il qu'à YADUPOUR l’on vous élevasse dans la stupre et l'tra la la?
On notera l’adaptabilité de la belle Cunégonde,
Toujours prompte d'adopter les usages du monde.
En vain cependant chercha-t-elle à résister aux outrages mondains
De son fripon de père, roi des dévergondins !*****
Prise d’une folle hystérie, génitrice elle mit bas en moins de six semaines
Une nuée de marquis au beau teint basané, à l'accorte bedaine.
Le fruit de ses entrailles ainsi ayant muri
Kama-Soutra vers son royaume parti
Et de sa femme à Yadupour il retrouva la couche,
Dont pour taire les reproches, il musela la bouche.
Cunégonde, Marquise, mère comblée, acquit pour quelques piastres
Les plages sablonneuses dont ses ébats furent l'astre.
Elle découvrit enfin le nom du lieu de ses desirs
Yaducontre sur Yadlagène-Yapasdplaisir !
130 années durant, vivant de sa progéniture,
A ses nombreux amants, elle rendit la vie dure
Cyra, coure encore en une quête qui perdure,
Vers son string molletonné qu’il n’a pu remplacer.
Son popaul frissonnant, lui servant de boussole,
Il fût plus avisé, d'avoir un parasol!
Souffrant de mille maux, les effets du soleil
Il perd plume au vent, ses appas sans pareil.
En désespoir de cause,
Dépourvu de sa chose,
Aux Indes il s'enfuit, et du Prince magnanime,
Il devint grand eunuque.
Morale: aux rayons du soleil, portez une perruque!
L’auteur vous le promet dans son orgueil extrême
De cette fantaisie vous lûtes, le vers pénultième.
Car pour en terminer, il conçut le mot FIN!
Tags : Délires, Cunégonde
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