• L'Assemblée relance le débat sur l'interdiction de la fessée et pourquoi les psys sont contre celle ci.

    En France on s'imagine tout régler par des lois. Comment la justice pourra-t-elle vérifier la réalité des gifles ou autres coups, et leur violence répétée pour les qualifier de maltraitance. Ce n'est pas à l'Etat de faire l'éducation des enfants, de s’immiscer dans ce domaine. Il est déjà assez invraisemblable de voir comment on autorise des enfants à poursuivre leurs parents sous le prétexte qu'ils ne les aident pas financièrement pour le paiement de leurs études; ainsi en est-il lors du financement de leurs études par un prêt et du rapport entre l'école et les parents d'élèves.

    j'en veux pour preuve l'aberration suivante: pour financer les études de mon fils un prêt est contracté à son nom et n'a pu l'être qu'à la condition que je sois  caution du prêt. Mais comme pour tout prêt les fonds étaient versés au nom de l'emprunteur et non de la caution. Je découvre que mon fils avait séché ses cours depuis 4 mois et ne pouvais m'en apercevoir car nous lui avions loué un studio pour qu'il soit près de l'école et ne passions pas notre temps à surveiller notre fils de 18 ans. Téléphonant à l'établissement pour protester de ne pas avoir été prévenu de ses absences, on me répondit que c'était mon fils qui payait ses études! Il faudra qu'on me dise comment il aurait fait pour payer 28000FRF pour un an de scolarité sans que je sois caution solidaire du remboursement du prêt! Il faut cesser de divaguer dans ce genre de domaine.
     
    Une fois de plus on imite surtout ce qu'il ne faut pas imiter des USA; on s'imagine que tout ce qui concerne un enfant relève de la psychiatrie! Et l'on ne s'arrête pas en si bon chemin on étend cela aux animaux de compagnie par exemple toujours à l'instar des sottises américaines histoire de se démettre de ses propres responsabilités.
     
    Ces pauvres chéris sont les victimes de leurs parents que l'on considère irresponsables  incompétents et maintenant tortionnaires alors qu'ils sont sur le terrain auprès de leurs gosses et que les psychiatres ont trouvé ici une géniale source de ressources ne connaissent rien de la situation familiale de l'enfant concerné.
     
    On fait des amalgames; ainsi il est évident que le système punitif des collèges britanniques avant que ceci ne soit interdit, était inacceptable, non seulement parce que les coups avaient un caractère d'humiliation de la victime par rapport à ses camarades, mais également parce qu'un prof ou directeur d'établissement n'a pas à appliquer une punition sans commune mesure avec la faute et si celle ci est très grave il doit en référer aux parents immédiatement. Sa seule action acceptable est alors  le renvoie si le cas a une telle gravité perturbant l'ensemble de l'établissement entre autres. Cessons de déresponsabiliser les parents comme on le fait depuis des années.
     
    Cessons de considérer que toutes les familles sont déséquilibrées et vivent dans un climat de violence tel qu'il puisse en effet avoir des conséquences catastrophiques sur l'équilibre de l'enfant. Dieu merci ce n'est pas cas.

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  • Commentaires

    1
    Jeudi 29 Novembre 2018 à 16:39

    Bonsoir Claude,

    intéressant ton article. Mais qui pourra faire la différence entre  petites gifle ou maltraitance? Car on voit trop d'enfants avec des multiples fractures anciennes!

    Bon les radios peuvent faire ces preuves une fois éliminé le syndrome des "os de verre"!

    Bises.

    2
    Vendredi 30 Novembre 2018 à 09:23

    Bonjour Sylvie,

    Je vais te renvoyer la balle, qui fera la différence entre la fracture dûe à un accident passé dont on n'a pas conservé les radios avec le temps pas plus que le diagnostique. Mes radios de la colonne vertébrale pour ma fracture au ski, sont aux ordures depuis des décennies (fracture en 1978), se méfier des témoignages d'enfants car contrairement à l'idée reçue ils ne disent pas toujours la vérité et souvent l'affabulation est dans l'air enfin que je saches un enfant n'a pas le droit de témoigner contre ses parents en droit français. Croire les voisins? Là encore risques de malveillances de la part de leurs témoignages; les règlements de comptes dans ce domaine sont loin d'être rares.

    On a aujourd'hui l'exemple des plaintes pour harcèlement sexuel; dans une émission de RMC Découverte où sont rapportés des enquêtes policières, un des policiers d'une brigade de l'est de la France disait que dans 90% des cas de plaintes en ce domaine, il s'agit de tentatives d'extorsions de dommages et intérêts; la plainte s'étant révélée sans le moindre fondement. Récemment dans le métro, je m'assieds coté fenêtre à coté d'une jeune femme encombrée de paquets; je commence à lire quand celle ci agressive me dit de ne pas me coller à elle!!!!! Comment pouvais-je ne pas involontairement l'effleurer vue la place qu'elle tenait, devais-je me mettre de l'autre coté de la cloison? Les passagers en face d'elle l'ont regardé éberlués!

    Voilà où conduisent des mouvements comme MeToo.

    Je ne nie pas l'existence de tels délits, le mot est faible, mais la facilité maintenant avec laquelle on accepte les accusations sans preuves du fait d'un manque d'éthique une fois de plus, me fait frémir.

    Je connais Goshn l'ancien PDG de Nissan; je l'ai connu en 1982 ou 1981 car il était un des clients de la société où je travaillais. Lors d'un rendez vous il nous a emmené déjeuner chez Faugeron un restaurant 4 ou 5 fourchettes du coté du Trocadéro et nous a dit à table que c'était, je cite: "sa cantine"! Cela dit son arrestation est louche, elle ne tient pas compte de la présomption d'innocence. Il semble que les commissaires aux comptes ont été quelque peu légers dans leur certification de ceux ci car si comme ils disent ils ont trouvé des anomalies dès lors ils devaient mettre des réserves et ne pas les certifier. Ce n'est pas à l'entreprise de dire le droit sur l'activation ou non de certaines dépenses, mais soit à l'administration fiscale, soit aux juristes extérieurs à l'entreprise.

    Aujourd'hui on prend des libertés avec l'application des lois dans les deux sens aussi bien du coté du juge que de la partie civile. Et comme je l'écris on croit qu'une loi résout tout dans des domaines particulièrement flous et facilement frauduleux.

     

    Bises

    Claude

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