• Je découvre son décès avec retard. Un de mes comédiens préférés avec Charon, Piat, Hirsch, Gaudeau, Gence, et tant d'autres qui ont fait les beaux jours d'une Comédie Française où le talent était de mise et non le désastre actuel où dictions, mises en scène délirantes sans rapport avec les oeuvres jouées deviennent la règle à l'instar de ce que l'on doit aussi supporter dans les Opéras mondiaux France incluse. J'avais eu la chance de bavarder avec lui au Studio lors d'une de ses participation à un spectacle au sujet du délicieux Doit-on le dire de Labiche mis en scène par Jean-Laurent Cochet. Un homme cultivé, plein d'humour, aux yeux pétillants de malice. Quelle perte, quelle tristesse.


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  • On parle des lycéens! Le comble! Que viennent faire dans ce débat des gamins qui brillent par leur nullité en termes scolaires! Ce n'est pas à 14 ou 15 ans qu'on a à se préoccuper de son départ à la retraite mais à celui de ses parents à qui on doit assistance jusqu'à la fin de leurs jours quelles que soient les conditions de fin de vie, ceci est prévu par la loi et est réciproque. Un peu de decence SVP!


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  • La France pays d’assistés chroniques,  sans le moindre esprit civique, ne pensant qu’à l’amusement, aux vacances et surtout à travailler le moins possible; le beau miroir de la gauche qui depuis plus de 40 ans s’ingénie avec succès à en détruire toute culture et mettre à genoux son économie. Les syndicats des forts en gueule l’ont dit ouvertement. Qu’ils ne viennent pas se plaindre les uns et les autres si demain aux élections prochaines le RN ou la dictature à la Melenchon et ses comparses prennent le pouvoir. Ils l’ont voulu, ils l’auront !


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  • Vous faites sans doute partie comme moi de ceux qui n’en peuvent plus de voir saccager Paris aux mains criminelles de Mme Hidalgo et de sa cohorte de soit disant écologistes plus compétents les uns que les autres en réalisations d’embouteillages et de pollution urbaine qu’en amélioration de la qualité de vie dans la capitale. Le massacre ne touche pas seulement celle-ci mais également l’ensemble du pays et de sa culture autrefois considérée comme un phare mondial.

    Si vous souhaitez oublier pendant quelques heures ou quelques jours ce sinistre tableau alors le livre paru en aout dernier chez Plon, dans sa collection des «Dictionnaires amoureux », est un passage quasi obligé. Il est signé Benoît Duteurtre allié au dernier président de la République française de la Quatrième République et a pour titre « Dictionnaire amoureux de la Belle Epoque et des Années folles ».

    Voilà un ouvrage que l’on peut lire d’une traite ou en piochant dans son alphabet (à condition de savoir ce qu’est un alphabet ce qui est sans doute loin d’être le cas des bacheliers d’aujourd’hui, ils doivent penser que c’est l’ordre des lettres AZERTY du clavier virtuel de leur Smartphone !...) et vous serez plongé dans l’univers des années 1900-1930 où foisonnaient écrivains, peintres, musiciens, artistes de talent aussi bien français qu’étrangers.

    Que de noms oubliés, que d’œuvres jetées au fonds de tiroirs voire aux ordures sans parler de ces écrits qui seraient considérés sacrilèges par les Schiappa, Autain et autres défenseurs enragés du politiquement correcte dont ces phénomènes incultes sont les gardiennes du temple, la cohorte masculine aussi s’y emploie !

    On lit et rit à gorge déployée des traits d’humour d’un Alphonse Allais, on revoit en souvenir attendri ou nostalgique comme le dit l’auteur, le Train Bleu nous menant sur la côte d’Azur ou remontée de façon éphémère sur la scène du Palais Garnier aux temps encore bénis de la direction de Rolf Liebermann sauf erreur de date, surement pas après Lefort en tous cas. Le livre est un florilège de titres, de noms, voire de souvenirs de l’auteur et des lecteurs inactifs et presque gâteux que nous sommes aux yeux de certains.

    Lisez le, « c’est bon pour le moral » comme dit la chanson et ne perdez surtout pas votre temps à regarder les débats creux et vides des irresponsables qui nous gouvernent ou souhaiteraient le faire.


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  • Haro sur les retraités!

    Telle est la mentalité sévissant dans le monde des actifs aujourd’hui! Ces petits salariés ont l’air de croire que leurs ainés sont restés inactifs pendant 40 ans!

    Petit rappel à cette jeunesse, en considérant les 20-45 ans actuels, quand vous travaillez 35heures, avez près d’un mois de vacances et je ne tiens pas compte des RTT et autres week end et viaducs à gogo, nous les plus de 60 ans avons travaillé des 39 et 40h avec souvent moins de trois de semaines de vacances et surement pas des avantages de toutes natures dont vous bénéficiez aujourd’hui grâce à votre mentalité d’assistés chroniques, assistanat obtenu grâce à l’irresponsabilité d’un Mitterrand et de ceux qui l’ont suivi depuis 42 ans!

    Je vous rappelle que tous les avantages technologiques dont vous disposez aujourd’hui ce sont vos ainés qui ont contribué à leurs découvertes et mises en œuvre: Informatique et réseaux ont été découvert pendant la seconde guerre mondiale et ont permis qu’aujourd’hui vous viviez dans un pays libre. Idem pour le transport aérien faisant passer un vol Paris New York de 18 à 22h à moins de 8h aujourd’hui.

    Les progrès de la médecine vous les devez à tout ce corps médical qui a fait des recherches dans les années 50-60 pour certains au péril de leur vie. La coronographie qui m’a sauvé la vie en février 2017 n’est pas tombée du ciel!

    Ma génération, j’avais 17-18 ans pendant les guerres coloniales, a eu un certain nombre de camarades qui y ont laissé leur peau pour les beaux yeux des petits colons vivant dans un luxe qu’ils n’auraient jamais eu en métropole aux frais de leurs domestiques!

    Alors ne venez pas dire comme je viens de l’entendre sur BFMTV à mots à peine couverts, que nous retraités sommes responsables d’une injustice envers vous.

    Quand j’entends un salarié hier refuser de se former pour pouvoir évoluer dans sa profession au cours de ces dernières années de travail, je suis scandalisé.

    A 81 ans je continue à apprendre, pendant toute ma vie professionnelle il ne s’est pas trouvé une année sans que je participe à des séminaires de formation dans les cinq entreprises par lesquelles je suis passé. Je n’en suis pas mort et c’est ainsi que j’ai évolué et obtenu des postes intéressant.

    Ce n’est pas avec de la paresse qu’on progresse dans la vie et surement pas en attendant de l’Etat de vous tenir en permanence par la main!

     


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